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Le lundi 15 juillet a été un véritable cauchemar pour l’économie chinoise. Voilà 27 ans que la croissance économique chinoise n’avait pas connu de si mauvais résultats. Le second trimestre s’annonce clairement en berne pour l’économie chinoise.
Des chiffres en repli
Pékin a révélé le 15 juillet dernier les chiffres de l’économie nationale au cours du second trimestre 2019. Il se trouve alors que la croissance économique chinoise ait connu une baisse de 0,2 point par rapport au premier trimestre, s’établissant désormais à 6,2 %.
Il s’agit là d’un signal fort, puisque c’est la pire performance que le pays ait connue en 27 ans, soit depuis 1992. Tout cela porterait alors à croire que Donald Trump a touché au but, dans son bras de fer économique avec la Chine. Rappelons que les tensions économiques ne cessent entre les deux pays depuis pas mal de temps.
Une décélération, plus qu’une chute
Mal-en-point, le mot est faible pour décrire la croissance économique chinoise. Pour autant, ce n’est pas comparable à la stagnation de la croissance économique en France. En effet, la Chine a pris suffisamment de marge pour être prémunie de toute chute.
Pour rappel, l’Espagne avait un PIB de 629 milliards USD en 1992, alors que celui de la Chine n’était que de 426 milliards. Aujourd’hui, la Chine se targue d’avoir un PIB dix fois plus important qu’à l’époque.
Cette récession de 0,2 % peut alors être qualifiée de décélération, plutôt que d’une chute de l’économie chinoise.
La relance par l’investissement est à écarter
Quelles sont les options pour Pékin afin de se sortir de cette spirale ? Il n’y en a pas beaucoup.
Ce qui est certain, c’est que le gouvernement chinois ne refera pas le coup de 2008. Pour rappel, ce pays avait fortement investi à l’époque pour éviter les répercussions de la crise mondiale. Il en a résulté une surcapacité industrielle sans nom, ainsi qu’un surendettement des entreprises.
Depuis, des efforts de restructuration ont été menés afin de redresser la barre. Le président actuel, Xi Jinping a d’ailleurs montré sa volonté de continuer sur un modèle économique plus sain, balayant d’un revers de main le recours massif à l’investissement public.
Quelles sont les alternatives pour relancer l’économie chinoise ?
Puisque Pékin ne compte pas ouvrir à nouveau le robinet de l’investissement public, il reste peu d’options pour relancer l’économie.
Outre la consommation des ménages et l’investissement dans les petites infrastructures, la Chine ne peut compter que sur « La route de la soie », le programme d’investissement à l’étranger qui devrait apporter ses dividendes incessamment sous peu.